La douceur de l’automne
L’automne a toujours été ma saison préférée et je l’ai vraiment compris qu’en je vivais au Québec et que chaque saison était bien marquée.
Pour moi, l’automne au Québec, c’était le plaisir d’aller faire une cueillette de pommes avec des amis. C’est le plaisir d’admirer les paysages aux couleurs incroyables, de marcher dans les feuilles, de préparer la maison pour la saison froide. Et c’est enfin de remercier la Terre à l’Action de grâce (Thanksgiving). C’est cette période où les jours raccourcissent, où notre rythme change après la frénésie, les fêtes et les sorties de l’été pour se retrouver au chaud et au calme. Ce calme qui est une invitation à l’introspection, au voyage intérieur, à un repos mérité.
Et ces changements de saisons, je me rends compte aujourd’hui que je n’avais pas besoin d’aller aussi loin pour les retrouver. Ils sont aussi visibles ici en Europe, dans les montagnes qui m’entourent. Et encore plus particulièrement avec cet automne 2022 qui est vraiment particulier et abondant et qui nous offre une belle arrière-saison ou comme on dit au Québec, un bel été des indiens. Vous aussi l’avez sûrement remarqué si vous avez eu l’occasion d’aller vous promener en nature récemment ou si vous pouvez observer la nature autour de vous. Les arbres sont couverts de fruits, le sol est parsemé de champignons en quantité et en variété comme je n’avais encore jamais vu. À mon marché local, les légumes n’ont jamais été aussi gros, à tel point qu’ils sont obligés de vendre les patates douces à la coupe !
La rigueur de l’hiver
Comme si la nature nous préparait à l’hiver rude qui s’annonce. Et ça, Kryeon en parle régulièrement en canalisation à travers Lee Caroll. Il parle de cet « innate » que je pourrais traduire maladroitement par « instinct » ou « naturel », ou plutôt encore par symbiose entre tous les éléments de la nature : minéraux, végétaux et animaux qui vivent en union, en apportant naturellement chacun ce dont l’autre à besoin.
Pour Kryeon, il y a vraiment cet équilibre et cette harmonie entre tous les règnes. Et c’est une information qui a été rejointe par un message que j’ai reçu de mes guides l’été passé. Je leur posais la question de savoir si ces vagues de chaleur et de sécheresse qui affectaient une grande partie de l’Europe de l’Ouest étaient la conséquence de facteurs naturels ou étaient induites par l’homme.
Dans un premier temps, ils m’ont donné leur réponse préférée : « À votre avis ? »
Je me suis donc mis à réfléchir à voix haute en faisant attention à ne pas trop dire de bêtises. Pour moi, il y a le projet HAARP qui apparemment permettrait d’affecter le climat. Mais il y a aussi les annonces beaucoup plus concrètes de pays comme la Chine ou plus récemment l’Espagne qui ont officiellement annoncé faire appel à des procédés de géoingénierie. La géoingénierie est cette technique qui vise à manipuler et modifier le climat. Ces techniques n’en sont plus au stade de théorie, mais sont bien passées à l’étape de science appliquée reconnue officiellement.
Et en même temps que je formulais cette pensée, je me disais que même si l’homme était capable de modifier ou d’altérer le climat, ça me semblait difficilement concevable sur une période aussi longue et à une si grande échelle.
Je pouvais souffler, ma réponse était juste ! Mes guides ont alors poursuivi en me donnant un complément d’information. Le premier point très important à comprendre était que la nature n’était pas en train de se rebeller ou de se venger de ce que nous lui faisons subir. Cela reviendrait à lui prêter des traits de caractère très humains basés sur les notions de bien et de mal. Et la nature n’a pas ces préjugés. Elle travaille avec nous dans l’amour et nous apporte ce dont nous avons besoin pour apprendre, grandir et évoluer avec elle.



Revenir à l’essentiel
L’autre point important était que nous devions revenir à l’essentiel. Nous nous sommes beaucoup trop détachés du monde qui nous entoure avec toujours plus de confort, de climatisation dès qu’il fait un peu trop chaud et de moyens de nous réchauffer dès qu’il fait un peu frisquet. Mais en faisant cela, nous avons perdu notre connexion avec notre monde. Et il est temps pour nous de retrouver cette connexion. Il nous faut réapprendre à vivre avec les éléments, réapprendre à notre corps à s’adapter à son environnement, à nous reconnecter avec notre environnement.
L’autre point positif de ces petits inconforts actuels est que cela nous amène à réfléchir et à nous réinventer. Depuis des années on nous terrorise avec les dangers de la surconsommation, les conséquences de la pollution, les émissions de gaz à effets de serre. On nous incite à diminuer notre consommation. Mais il faut l’avouer, à part quelques petits gestes écologiques pour nous donner bonne conscience, peu d’entre nous changent vraiment leurs habitudes au quotidien. On se dit qu’on a le temps, on se dit qu’on le fera quand on y sera contraint, que de toute façon nos petits gestes ne servent à rien si le monde entier ne s’y met pas de concert…
La naissance d’un nouveau monde
Et si la réponse n’était pas dans ces petites économies de bouts de chandelles ?
Et elle n’est pas non plus dans le tout électrique. On voit déjà la limite des voitures électriques qui ne sont en fait pas si écologiques que cela (pour ne pas dire absolument pas) et qui risquent d’avoir bien du mal à être rechargées cet hiver.
Et si la réponse était dans une énergie libre, gratuite, illimitée et non polluante ? Vous imaginez ? Ça fait rêver n’est-ce pas ? Et immédiatement vous pourriez me rétorquer que si c’était aussi simple, cela se saurait depuis bien longtemps. Pas forcément !
En fait, c’est tout à fait possible. Il nous faut simplement « dérailler » quelque part pour prendre une nouvelle voie. C’est aussi un des messages de Kryeon qui prédit qu’une énergie très simple basée sur une roue aimantée va faire son apparition prochainement. Effectivement, cela semble tellement simple qu’on se demande pourquoi ça n’existerait pas déjà. Mais là encore, l’idée est que la nature est bien faite et que TOUT CE DONT NOUS AVONS BESOIN SE TROUVE DANS LA NATURE. Médicaments, énergie, nourriture, nettoyage… Tout est à notre portée en abondance. Également, les nouvelles idées viennent à nous au bon moment. Ces idées apparaissent « comme par magie » dans l’air et vont être captées par une ou plusieurs personnes à peu près au même moment à différents endroits du globe.
Tout est question de cycles
Mais revenons-en à cet automne et l’hiver qui s’en vient et qui à en écouter la nature mieux informée que nous, risque d’être un peu plus rigoureux que la moyenne. Là encore, selon Kryeon, nous entrerions dans une mini période glaciaire d’une trentaine d’années. Donc totalement à l’opposé de ce que l’on nous répète sur les changements climatiques.

Et cela rejoint en fait le travail de plusieurs scientifiques qui étudient et mettent en corrélation l’activité du soleil et les températures terrestres.
En étudiant les différentes couches du sol, il est possible de déterminer assez précisément les températures à une période bien précise. Il est également possible de déterminer l’activité du soleil à cette époque en fonction des niveaux d’isotopes de carbone 14 et de béryllium 10 laissé dans ces mêmes sols. De ces études ont été identifié plusieurs minimums.
- celui de Maunder au 17e siècle
- Spörer entre 1460 et 1550
- ou plus récent encore le minimum de Dalton, qui a eu lieu entre 1790 et 1830.
Vous pouvez donc relaxer un peu en entendant le discours alarmiste sur le climat et la culpabilité qu’on essaie de faire peser sur nous en nous parlant de la tragique montée des eaux. Encore mieux, arrêtez tout simplement d’écouter. Je me souviens que dans les années 80-90 il y avait déjà ce genre de discours. Je me mettais à paniquer en imaginant que je ne pourrais peut-être jamais explorer Venise ou en imaginant la moitié de la population mondiale accrochée au sommet d’une montagne qui sort de l’eau. Aujourd’hui cela m’amuse d’y repenser et je reste perplexe en voyant les personnes les mieux informées du monde comme Obama construire de luxueuses villas sur les plages à Hawaï.
Bref, tout cela pour vous dire que cela ne sert à rien de paniquer sur la chaleur terrible qu’on nous annonce avec le réchauffement ou d’angoisser en pensant qu’un hiver froid puisse avoir lieu. Les actions égoïstes de l’homme ont des effets désastreux sur la nature et cela, on ne peut pas le nier, mais on peut le corriger et le réparer. Et de nombreuses initiatives qui vont dans ce sens sont très encourageantes. Mais de là à penser que l’homme est capable de changer le climat à l’échelle planétaire et sur le long terme, en fait, c’est un peu prétentieux, non ?
Reconnectons-nous à la nature. Cette nature qui vit paisiblement au rythme des saisons, en s’adaptant à chaque saison, sans s’inquiéter de ce qui pourrait venir, mais en se préparant simplement. Si nous avons peur de manquer, reconnectons nous à la nature qui est abondance et abondante et pour qui une récolte généreuse suivra une récolte plus maigre. Elle est toujours là, elle s’adapte, elle continue à grandir, à se développer et à donner à tous ces habitants ce dont ils ont besoin.
Alors, profitez de la douceur des prochains jours. Comme l’écureuil, faites quelques réserves. Comme le castor, préparez votre habitation pour les temps froids. Et réjouissez-vous de cette période plus calme qui va vous offrir un peu plus de temps pour vous recentrer, vous chouchouter tout en douceur et vous reconnecter avec le monde qui vous entoure et avec vous même.
Photo de couverture par Johannes Plenio sur Unsplash
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